Tenue vestimentaire

La Constitution suisse consacre la liberté de croyance. Chacun a le droit d’adhérer ou non à une religion et de la pratiquer.

La liberté personnelle, consacrée par la Constitution fédérale, prévoit la liberté de choisir son apparence. Elle peut être limitée par les intérêts légitimes de l’employeur.

Les Fêtes approchent, c’est l’occasion de se détendre en buvant un verre entre collègues. Pour éviter que ça ne dégénère, collaborateurs et employeurs doivent tout mettre en œuvre.

C’est le retour des vacances. Il est temps d’abandonner les tongs et de reprendre sa tenue de travail.

A l’heure où tout doit être scanné, jusqu’à la couleur des sous-vêtements, la tenue vestimentaire de travail est dans la ligne de mire.

Comment réagir devant un piercing, un tatouage ou une jupe taille basse?

La question de la tenue vestimentaire au travail est un sujet sensible. Aujourd’hui, le look constitue un véritable mode d’expression. Pour l’employeur, il est parfois difficile d’exiger de ses employés qu’ils modifient leur apparence.

Il est temps de lever le voile sur les questions posées par le port du voile sur le lieu de travail.

Directives vestimentaires Une secrétaire peut-elle travailler avec un jeans déchiré ou troué ou porter un piercing facial? Un mécanicien est-il en droit de travailler en bermuda et nu-pieds? Un cadre peut-il refuser de porter une cravate?

Une secrétaire peut-elle travailler avec un jeans déchiré ou arborer un piercing facial? Un magasinier peut-il travailler en bermuda et nu-pieds? Un cadre peut-il refuser de porter une cravate?